Je suis navré mais je me suis perdu, seul, dans ton sourire.
Les yeux mi-clos au temps suspendu, j'attends l'averse.
Un dernier verre de rhum pour une peine perdue,
Une dame de cœur, une compagnie de luxe,
Pour un rêveur alcoolique, ton as de pique.
J'ai abattu toutes mes cartes, belote et rebelote,
Las au comptoir, je t'ai attendue,
Seul, dans mon ivresse, j'ai attendu des verres,
Fait basculer des heures, là, au temps suspendu.
J'y ai tricoté des vestes, j'y ai fait valser des pestes,
Et leurs sous-entendus... bien entendu.
Etais-tu brune, blonde ou rousse, le patron s'en souvient sûrement.
Le cœur en crève, au temps suspendu, je... t'attendrai.
Je suis navré mais je me suis pendu, seul, à ton silence,
Les yeux fermés, au temps suspendu, j'attends l'averse.
[Les Hurlements d'Léo - Au temps suspendu]
Les yeux mi-clos au temps suspendu, j'attends l'averse.
Un dernier verre de rhum pour une peine perdue,
Une dame de cœur, une compagnie de luxe,
Pour un rêveur alcoolique, ton as de pique.
J'ai abattu toutes mes cartes, belote et rebelote,
Las au comptoir, je t'ai attendue,
Seul, dans mon ivresse, j'ai attendu des verres,
Fait basculer des heures, là, au temps suspendu.
J'y ai tricoté des vestes, j'y ai fait valser des pestes,
Et leurs sous-entendus... bien entendu.
Etais-tu brune, blonde ou rousse, le patron s'en souvient sûrement.
Le cœur en crève, au temps suspendu, je... t'attendrai.
Je suis navré mais je me suis pendu, seul, à ton silence,
Les yeux fermés, au temps suspendu, j'attends l'averse.
[Les Hurlements d'Léo - Au temps suspendu]
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